Crise
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La crise...
Un mot sur toutes les lèvres
La peur est dans la France qui prend doucement conscience qu'elle décline et que son avenir est plus proche de celui de la Grèce que celui de l'Inde...
Crise économique, financière, écologique, démographique, sociale...
Ce mot crise veut aussi dire ADAPTATION, SURVIE ou DISPARITION.
Beaucoup attendent un krach, une redistribution des cartes, la fin du capitalisme (version du peuple) la fin des oligarchies et du socialisme (version des entrepreneurs...)
Chacun voit le monde en fonction de sa situation.
Le système mondial est instable car hyper contrôlé et manipulé.
Avant, nous avions des cycles clairs de croissance et récession. Désormais, nous avons une stagnation avec des crises, des chocs de volatilité. Beaucoup sont perdus.
Cette thématique est majeure dans notre monde moderne. Nous allons produire toutes les infos, analyses et réflexions qu'on peut le faire afin de vous aider à réfléchir.
Nous voudrions juste vous rappeler une chose, une vérité trop souvent oubliée en France : crise ou pas, on peut gagner et réussir individuellement. Peu importe ce que font les autres. La crise ne doit pas devenir une excuse pour justifier un immobilisme destructeur !
Une nouvelle crise immobilière se profile à l'horizon aux USA différente de celle de 2008
Audience de l'article : 2840 lecturesLe PDG de KB Homes, le huitième plus grand constructeur de maisons aux États-Unis, tire le même constat. Lors d’une réunion qui portait sur les résultats trimestriels, le directeur Jeff Mezger avait conclu les éléments suivants.
Sur l’ensemble du territoire américain, le ratio de primo-accédants a fléchi aujourd’hui. Le pourcentage d’acheteurs qui réalise leur premier achat est seulement de 50%, contre un taux de 60 à 70% en 2008 et 2009. Le changement de mentalité des millennials (personnes âgées de 15 à 34 ans) y est pour quelque chose. Celles-ci disposent d’un pouvoir d’achat moindre par rapport à la génération précédente, suite à l’essoufflement général de la croissance des salaires.
Mais le cabinet spécialisé, note un autre facteur important. Celui du crédit. Beaucoup de futurs propriétaires ont voulu éviter de s’endetter quant à l’achat de leur logement. Les explications sont avant tout psychologiques et financières.
Le taux d’accession à la propriété connaît désormais un creux historique.
La mise initiale des acheteurs a grimpé en moyenne de plus de 100 000 $. L’activité du marché de la construction et du BTP, est largement en dessous du niveau des moyennes historiques. Concrètement, cela se traduit par un manque de logements neufs disponibles sur le marché immobilier, ce qui fait monter mécaniquement les prix.
Les américains ont aussi tendance à se déplacer de plus en plus, vers les villes, et se tenir à l’écart des banlieues. Les emplois étant plus concentrés à l’intérieur des centres urbains. Un afflux de demande créé une rareté de l’offre, d’où les prix qui explosent. Le PDG de KB Homes a même déclaré son intention de vouloir limiter ses constructions au sein des zones rurales californiennes, et se focaliser plus sur des projets d’avantage coûteux en milieu urbain.
Cependant, tous les Etats américains ne connaissent pas la même situation économique. Certains d’entre eux voient le marché du travail se rétablir. Dans ce cas, l’offre est plus abondante, et les gens sont prêts à se déplacer plus loin pour leur lieu d’habitation, souvent en périphérie des grands centres ville.
Le meilleur exemple est celui du Texas où la croissance économique est repartie. Les primo-accédants sont plus nombreux et moins regardant sur la localisation géographique de leur logement.
William Finck
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