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Crise

Crise

La crise...

Un mot sur toutes les lèvres

La peur est dans la France qui prend doucement conscience qu'elle décline et que son avenir est plus proche de celui de la Grèce que celui de l'Inde...

Crise économique, financière, écologique, démographique, sociale...

Ce mot crise veut aussi dire ADAPTATION, SURVIE ou DISPARITION.

Beaucoup attendent un krach, une redistribution des cartes, la fin du capitalisme (version du peuple) la fin des oligarchies et du socialisme (version des entrepreneurs...)

Chacun voit le monde en fonction de sa situation.

Le système mondial est instable car hyper contrôlé et manipulé.

Avant, nous avions des cycles clairs de croissance et récession. Désormais, nous avons une stagnation avec des crises, des chocs de volatilité. Beaucoup sont perdus.

Cette thématique est majeure dans notre monde moderne. Nous allons produire toutes les infos, analyses et réflexions qu'on peut le faire afin de vous aider à réfléchir.

Nous voudrions juste vous rappeler une chose, une vérité trop souvent oubliée en France : crise ou pas, on peut gagner et réussir individuellement. Peu importe ce que font les autres. La crise ne doit pas devenir une excuse pour justifier un immobilisme destructeur !

Pour beaucoup d'actions, nous sommes déjà en plein marché baissier. La chute récente du début d'année des indices boursiers ne change rien

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Avec les actions US qui ont désormais pris leur plus mauvais départ de début d’année depuis l’an 2000, les investisseurs se demandent si Wall Street ne se dirige pas franchement vers un marché baissier. La vérité, c’est que de nombreuses actions en sont déjà là.

Les actions américaines ont chuté de près de 4,0% depuis début 2016, et plus de 40% des actions de l’indice SP 500 sont à 20% ou plus en dessous de leurs cours les plus hauts : c’est la définition d'un marché baissier.

En plus des 219 valeurs de l'indice SP 500 qui sont en baisse de 20% ou plus de leurs cours les plus hauts sur 52 semaines, il y a 374 à 10% ou plus sous leurs cours les plus hauts, souligne Ryan Detrick, stratège de marché chez Kimble Charting Solutions, à Cincinnati, Ohio. 

« Les marchés boursiers américains sont extrêmement survendus depuis le début de cette année, un rebond pourrait donc se produire à tout moment. Le plus gros problème est la détérioration des actions sous la surface », poursuit Ryan Detrick.

Le mouvement peut s’empirer avant une amélioration : les actions sont encore chères et les investisseurs qui se disent qu'ils ne peuvent pas avoir de visibilité face aux malheurs géopolitiques, tels que la faiblesse de l'économie de la Chine et la guerre au Moyen-Orient, se tiennent à l'écart pour le moment. Il semble qu’il y ait peu de raisons d'être optimiste.

Mais un départ aussi morose ne conduit pas nécessairement à une année de pertes. Janvier est souvent un mauvais mois pour les actions et l’ensemble des ventes récentes a fait chuter quelques actions suffisamment bas pour intéresser les investisseurs les plus sélectifs.

En moyenne, le prix d’un titre de l'indice S P 500 a presque atteint les 21,3% de baisse par rapport au cours le plus haut sur 52 semaines, selon Ryan Detrick, suggérant qu’il existe une large éventail d’actions qui ont été entrainée vers le bas et qu’elles seraient peut être en mesure de fournir de la valeur.

« Ces sont des motifs très légitimes de préoccupations. On pourrait dire que la réponse du marché a été très rationnelle. En même temps, dans quelle mesure les choses ont-elles vraiment changé ? « Je dirais pas beaucoup », répond Brad McMillan, directeur des investissements pour la Commonwealth Financial Waltham, dans le Massachusset.

« Je ne serais pas surpris de peut-être voir un certain nombre de surprises positives ici aux Etats-Unis », ajoute-t-il.

Les actions américaines semblent toujours être chères, avec le forward P/E (le ratio cours / bénéfice prévisionnels) du SP 500 à 16,4, en dessous des 17,4 atteint en mars, mais qui se situe toujours sur des sommets jamais vus depuis 2004.

Mais ces valorisations pourraient être exagérées par un petit groupe d’actions qui ont poussé l'indice SP 500 tout au long de la dernière année avec des cours survalorisés. Amazon, qui fait partie du groupe de titres surnommés les FANG (Facebook, Amazon, Netflix et Google), des actions qui ont contribué à maintenir le SP 500 quasiment stable en 2015, a un forward P/E pour les 12 prochains mois de 114,3. Netflix a un forward P/E encore plus élevé, affichant un ratio de 368,5 pour les 12 prochains mois. 

Avec ce départ d’année poussif pour les actions FANG, les indices boursiers généraux ont perdu une importante source de support. 

En même temps, de la baisse signifie un retour des rendements.

Il est à nouveau possible de trouver des titres intéressants sur le marché américain.
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