Crise
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La crise...
Un mot sur toutes les lèvres
La peur est dans la France qui prend doucement conscience qu'elle décline et que son avenir est plus proche de celui de la Grèce que celui de l'Inde...
Crise économique, financière, écologique, démographique, sociale...
Ce mot crise veut aussi dire ADAPTATION, SURVIE ou DISPARITION.
Beaucoup attendent un krach, une redistribution des cartes, la fin du capitalisme (version du peuple) la fin des oligarchies et du socialisme (version des entrepreneurs...)
Chacun voit le monde en fonction de sa situation.
Le système mondial est instable car hyper contrôlé et manipulé.
Avant, nous avions des cycles clairs de croissance et récession. Désormais, nous avons une stagnation avec des crises, des chocs de volatilité. Beaucoup sont perdus.
Cette thématique est majeure dans notre monde moderne. Nous allons produire toutes les infos, analyses et réflexions qu'on peut le faire afin de vous aider à réfléchir.
Nous voudrions juste vous rappeler une chose, une vérité trop souvent oubliée en France : crise ou pas, on peut gagner et réussir individuellement. Peu importe ce que font les autres. La crise ne doit pas devenir une excuse pour justifier un immobilisme destructeur !
Les 4 plus grandes banques australiennes dépassent les 20% de baisse
Audience de l'article : 2293 lecturesElles sont prises dans une spirale baissière, les investisseurs ont essuyé un revers de plus de 85 milliards $ soit une perte de plus de 20%. C'est ainsi que la capitalisation boursière de ANZ, WESTPAC, CBA et NAB dégringole, elle passe de 475 milliards $ à environ 390 milliards $ (voire le graphique ci-dessous).
Un point sur ANZ
ANZ est la banque la plus sévèrement touchée, elle perd 23.9% par rapport à avril où l'action s'établissait à 37.25$.
ANZ a une capitalisation boursière de 81.5 milliards $. ANZ enregistre la plus forte baisse parmi les 4 banques pour différentes raisons :
1. Les investisseurs sont préoccupés par le ralentissement économique de la Chine, or c'est un marché où ANZ a une très grande exposition, non seulement à cause de sa stratégie d'expansion en Asie et mais aussi de par les nombreux prêts consentis aux sociétés minières.
2. L'exposition aux sociétés minières d'ANZ est 2 fois plus conséquente par rapport à celle des 3 autres banques.
3. ANZ a effectué beaucoup plus de prêts aux entreprises que ses concurrents (résultat du dernier trimestre), ce qui la fragilise d'avantage en cas de créances douteuses.
WESTPAC, CBA et NAB
Leurs valorisations chutent en moyenne de 21% sur l'année 2015.
Le cas de NAB
NAB a une capitalisation boursière de 81,8 milliards $. NAB a également mieux résisté en raison de sa stratégie de concentration sur les marchés développés, c'est à dire les entreprises en Grande-Bretagne et aux États-Unis. Les investisseurs la considèrent plus solide car elle a aussi le mérite de privilégier prioritairement le marché des sociétés australiennes qui est son cœur de cible numéro 1.
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