Gilles Boulet
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Je suis fondateur de la revue en kiosque ARRONDIR SES FINS DE MOIS http://www.arrondirsesfinsdemois.net/
Risque faible, valorisation régulière et JACKPOT pour les astucieux 1ère partie
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Dans le monde des investisseurs, en général, les petits rendements sont synonymes de faible risque et les hauts rendements supposent un risque élevé.
Dans la première catégorie, vous trouverez le livret A, dans la seconde des achats d’actions de sociétés en quasi-faillite.
Dans ce dernier cas, le plus souvent, vous perdrez 100 % de votre investissement, parfois vous ferez des bénéfices spectaculaires, multipliant votre mise par dix, cent ou beaucoup plus…
Mais hélas, le plus souvent, ce gain ponctuel ne compensera pas les multiples autres pertes sur des valeurs comparables.
Citons quelques exemples boursiers :
La société américaine Vermillion (VRMLQ) valait 0,01 $ le 29 juillet 2009.
Le 13 Novembre, le cours était à 23,20 $, soit 2 320 fois plus ou 23 100 % de progression !
En clair, en investissant 1000 € en juillet, vous pouviez prendre votre retraite mi-novembre, votre pécule atteignant la coquette somme de 2,32 millions d’euros (en négligeant l’évolution des monnaies, ne mégotons pas).
Que s’est-il passé ? Entretemps, la FDA (food and drug administration) a validé un des tests sanguins de Vermillion. Instantanément, la société a trouvé l’appui des banques, le soutien enthousiaste des investisseurs et le cours a explosé.
Autre exemple, plus connu, l’action Microsoft valait 0,62 $ en 1990, elle a culminé à 58 en 1999… (idem pour APPLE actuellement).
Les exemples de la sorte sont médiatisés, google étant sans doute le modèle même de la start-up qui réussit : créée avec deux bouts de ficelle en 1998, elle est devenue un géant employant 20 000 salariés et valant 210 milliards de dollars 10 ans plus tard…
Rien que pour tondre la pelouse du siège social, il faut un troupeau de 200 chèvres (les dirigeants étant écolos, ce souci est tout à l’heure honneur).
Mais voilà ; combien d’entreprises ont-elles été « vendues aux investisseurs » comme le nouveau google avant de disparaître corps et biens quelques mois plus tard ?
Sans doute des milliers…
Mais il y a des types d’investissement qui échappent à cette logique « haut gain = haut risque ».
Dans ce cadre, nous pouvons citer certains terrains qui, pour l'instant, sont non-constructibles...
Nous détaillerons ce point dans les prochains articles.
Gilles Boulet
Dans la première catégorie, vous trouverez le livret A, dans la seconde des achats d’actions de sociétés en quasi-faillite.
Dans ce dernier cas, le plus souvent, vous perdrez 100 % de votre investissement, parfois vous ferez des bénéfices spectaculaires, multipliant votre mise par dix, cent ou beaucoup plus…
Mais hélas, le plus souvent, ce gain ponctuel ne compensera pas les multiples autres pertes sur des valeurs comparables.
Citons quelques exemples boursiers :
La société américaine Vermillion (VRMLQ) valait 0,01 $ le 29 juillet 2009.
Le 13 Novembre, le cours était à 23,20 $, soit 2 320 fois plus ou 23 100 % de progression !
En clair, en investissant 1000 € en juillet, vous pouviez prendre votre retraite mi-novembre, votre pécule atteignant la coquette somme de 2,32 millions d’euros (en négligeant l’évolution des monnaies, ne mégotons pas).
Que s’est-il passé ? Entretemps, la FDA (food and drug administration) a validé un des tests sanguins de Vermillion. Instantanément, la société a trouvé l’appui des banques, le soutien enthousiaste des investisseurs et le cours a explosé.
Autre exemple, plus connu, l’action Microsoft valait 0,62 $ en 1990, elle a culminé à 58 en 1999… (idem pour APPLE actuellement).
Les exemples de la sorte sont médiatisés, google étant sans doute le modèle même de la start-up qui réussit : créée avec deux bouts de ficelle en 1998, elle est devenue un géant employant 20 000 salariés et valant 210 milliards de dollars 10 ans plus tard…
Rien que pour tondre la pelouse du siège social, il faut un troupeau de 200 chèvres (les dirigeants étant écolos, ce souci est tout à l’heure honneur).
Mais voilà ; combien d’entreprises ont-elles été « vendues aux investisseurs » comme le nouveau google avant de disparaître corps et biens quelques mois plus tard ?
Sans doute des milliers…
Mais il y a des types d’investissement qui échappent à cette logique « haut gain = haut risque ».
Dans ce cadre, nous pouvons citer certains terrains qui, pour l'instant, sont non-constructibles...
Nous détaillerons ce point dans les prochains articles.
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