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Caroline Domanine

Caroline Domanine

Entrepreneur, coach et trader…

…autodidacte et fière de l'être!

Je pense que chacun peut avoir sa chance s'il est prêt à y mettre le prix. Convaincue du pouvoir que nous avons tous sur notre vie, je me lance avec toujours plus d'énergie et de joie vers de nouveaux défis.

Trader par amour pour la liberté, coach par passion du partage, entrepreneur par besoin de créer; je crois que c'est notre comportement qui sera seul maître de nos performances. Parce que nos compétences techniques ne suffiront  pour gagner, développons nos compétences comportementales avec des questions et des outils simples à mettre en place !

Mon Blog : http://psychotrade.fr/


Résonnance de l’échec et de la réussite

Audience de l'article : 2555 lectures
Nombre de commentaires : 1 réaction
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Pourquoi nos échecs restent ils généralement gravés en nous plus profondément que nos réussites?

On peut trouver bien des réponses sociales et psychologiques, par exemple: l’échec a des conséquences graves, j’ai travaillé si fort que la réussite est normale, ou encore, le regard des autres est dur a assumer si on se plante. Toutes ces raisons peuvent être exactes, et répondre, en partie a la frustration, la tristesse ou la colère de l’échec. Et pourtant, elles ne sont pas suffisantes, et même plus; elles ne sont que la partie émergée de l’iceberg.

Nos échecs peuvent nous faire effroyablement souffrir car, dans la nature, il y a des centaines de victoires pour un seul échec. Au niveau archaïque de notre développement, nous n’avions pas le droit a l’erreur, sous peine de mort immédiate. Dans le monde sauvage, les animaux trouvent leur nourriture tout les jours (presque!) , se mettent en sécurité continuellement, jusqu’a la mort. Et le premier échec peut aussi être le dernier, car ils n’ont pas de deuxième chance. Ainsi, instinctivement, nous associons l’échec a un risque de mort.

Sur les marchés, ces réflexes primaires sont exacerbés par l’environnement hostile dans lequel nous évoluons, et lorsque nous commençons a faire une perte, nous nous sentons en danger, et pouvons céder à la panique qui nous pousse encore plus rapidement vers le précipice: reculer son stop, moyenner, augmenter son levier; les mauvaises décisions face à un échec imminent sous nombreuses! Nous savons que ce sont de mauvaises décisions et pourtant, on le fait quand-même ,plus ou moins souvent.

Pourquoi d’après vous?

Comment pouvons-nous désamorcer ce reflexe de panique qui nous submerge parfois?

Il y a plusieurs pôles de travail disponibles pour y parvenir; que je ne développerais pas aujourd’hui, faute de temps. Je reviendrai précisément sur chacun de ces pôles dans des articles dédiés:

-La curiosité

-L’acceptation de la réalité

-Les nuances dans les représentations (perception)

-Relativité

-Réflexion logique

-Opinion personnelle

Quand l’échec est là, on ne peut plus changer la situation, par contre, nous pouvons changer ce que nous en ferons. Dans notre monde d’hommes, l’échec n’est plus synonyme de mort immédiate et peut même être perçus comme une chance pour se surpasser.
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1 Commentaire

  • Lien vers le commentaire patlr dimanche, 10 février 2013 16:11 Posté par patlr

    Bonjour Caroline,
    J'ai "géré'  ce type de situation par des séances d'hypnose.
    Résultats très positifs !!!
    Cordialement
    patlr