Tout d’abord, je tiens à vous remercier pour votre assiduité, tant sur le blog que dans les colonnes de Contrepoints, ou sur les réseaux sociaux, à retweeter mes frasques ou mes exactions sur Facebook. La fréquentation du blog continue à bien se porter, et je soupçonne un treizième lecteur d’être venu rejoindre les douze précédents acharnés dont certains vont jusqu’à poster l’un ou l’autre hardi commentaire en bas des articles.
Encore une fois, vos remarques, vos encouragements, vos partages (Facebook, Twitter, par e-mail même) sont la raison d’existence de ce blog et une excellente motivation pour m’aider à continuer. Et puis, partager mes articles sur Facebook, les retweeter, les ventiler par e-mail, c’est une excellente méthode pour débusquer le socialiste égaré qui se terre parmi vos amis, c’est la méthode garantie pour faire fuir de votre « mur social » Belle-Maman, honteuse communiste, c’est la voie rêvée pour éparpiller façon puzzle du jeune con so-so-solidaire avec l’argent des autres (et de Papa-Maman). Continuez. La chasse aux cons est toujours d’actualité, et comme le disait un certain Charles, c’est un vaste programme qui a besoin de forces vives.
J’en profite aussi pour vous remercier chaudement de l’accueil que vous avez réservé à mon petit opus sur l’écologie, toujours disponible sur le site de l’éditeur, ici ou auprès du grand Satan turbo-capitaliste habituel, Amazon. Pratique à lire à la plage, l’air décontracté et le sourire aux lèvres, il attirera l’attention sur vous, homme ou femme de lettres, et vous permettra de vous placer au dessus de la masse navrante des lecteurs de ces productions littéraires faciles, tirées à des millions d’exemplaires, aussitôt lues et aussitôt oubliées, qu’on distribue pour la plage entre deux chouquettes collantes. Agrémenté d’un cocktail de fruits ou d’un whisky single cask 12 ans d’âge, le Petit Traité d’Anti-Écologie vous permettra de dire Fuck The System avec un détachement et une classe que beaucoup, les doigts gras d’huile solaire et les mains prises par un Guillaume Mussot prévisible, vous envieront. Et puis, je dis ça, hein, je dis rien, mais son prix est extrêmement compétitif, et il existe en version électronique aussi. Pourquoi se priver ?
À présent, il est temps de vous laisser. Quelques semaines à regarder – goguenard mais coi – s’agiter en battant des bras impuissants les imbéciles qui font semblant de diriger la France, ce sera intéressant. Prenez des notes. Gardez des liens sur les meilleures nouvelles. Soyez vigilants : l’État veut
Bonnes vacances !