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Charles Sannat

Charles Sannat

Charles Sannat est diplômé de l’École Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d’Études Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information (secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires et intègre la Direction de la Recherche Économique d'AuCoffre.com en 2011. Il enseigne l'économie dans plusieurs écoles de commerce parisiennes et écrit régulièrement des articles sur l'actualité économique.

Charles-Sannat

Paris : 100 tonnes de banquise vont fondre à République

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« Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnait »…

Voilà une maxime du cinéma français qui s’applique encore à la perfection à ces grands fous qui nous dirigent.

Comme nous l’apprend cet article assez court du Parisien, pour lutter contre la fonte de la banquise, nos grands mamamouchis ont eu donc l’idée excellente de faire fondre 120 tonnes de banquise de plus place de la République à Paris après avoir envoyé des gens, sans doute pas à la rame, couper cette glace et la ramener par bateaux frigorifiques puis par camions réfrigérés aussi du Danemark… histoire de contribuer comme il faut au réchauffement climatique…

Je ne vous parle même pas du coût des coups de communication de notre Winnie l’Ourson élyséen…

Par moment, les bras m’en tombent devant une telle masse de bêtise insondable.

Charles SANNAT


« Douze immenses blocs de glace d’une dizaine de tonnes chacun en train de fondre sur la place de la République (Xe) du 30 novembre au 11 décembre, lors de la conférence sur le climat (COP 21). C’est le projet un peu fou du géologue danois Minik Thorleif Rosing et de l’artiste dano-islandais Olafur Eliasson.

La glace installée « représente un dixième de ce qui fond en une seconde en été au Groenland » explique le premier. Découpés dans des icebergs du Groenland et emmenés par bateau jusqu’au Danemark, les blocs doivent arriver par la route. Sauf que les attentats pourraient changer le lieu ou la date de l’installation. « Nous travaillons à une solution », expliquent ses concepteurs sur leur site (icewatchparis.com) ».

Source ici
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