Je sais que mes quelques lecteurs les plus assidus en concevront un effroi indicible, et je soupçonne que certains, gagnés par la folie, iront sacrifier un bébé communiste ou une paire d’indécrottables trotskystes pour tenter de hâter mon retour. C’est, bien évidemment, un peu disproportionné, mais il faut en passer par là, je suppose, pour que tout le monde puisse supporter ce petit moment délicat sans devenir fou.
Au passage, ces réactions un peu décalées me rappellent que je dois vous remercier pour, justement, cette assiduité et ces nombreux partages sur Facebook, Twitter et ailleurs ; chaque partage, chaque e-mail contenant un copier-coller d’un passage ou de l’intégralité d’un billet, éventuellement assemblé dans un Powerpoint à transitions multiples, images baveuses et musique MIDI grelotante, c’est autant de coups de canif dans le collectivisme ambiant. Et ça permet, lentement mais sûrement, de passer de 15 à 20 lecteurs réguliers ! Je le redis donc : allez-y, lâchez-vous, partagez, tweetez, retweetez, cela vous le sera rendu. Peut-être.
Et puis, malgré cet arrêt temporaire, tout n’est pas perdu.
Pendant ce temps, d’autres blogs continuent la résistance. NathalieMP, le Parisien Libéral, Guillaume Nicoulaud, tant d’autres que j’oublie (et qui m’en voudront fort probablement) et bien sûr Contrepoints, toujours gratuit, toujours tenu par une armée de bénévoles et une association qui ne compte pas ses heures et ses moyens pour vous fournir le meilleur de l’information libérale soigneusement omise par les médias français subventionnés.
En attendant, pour ceux qui ne l’ont pas déjà fait, pour ceux que les réseaux sociaux rebutent, je vous encourage de façon assez éhontée à soutenir ce blog d’autres façons. Les achats sur la boutique en ligne ne me rapportent à peu près rien mais vous placent ostensiblement dans le Camp du Mal, ce qui est une excellente façon de a/ commencer un débat à table et b/
Bien sûr, les dons sont bien évidemment acceptés (vous pouvez passer par là en mentionnant que c’est pour moi) et si vous voulez enquiquiner le système politico-bancaire actuel, vous pouvez même me verser des Bitcoins à l’adresse qui s’affichera en fin de billet. Enfin, vous pourrez toujours vous procurer l’un de mes ouvrages (dont vous aurez description, prix et points de vente sur la page suivante), y souligner le mot « bisounours » et en discuter avec vos amis histoire de les leur faire acheter aussi.
Bonnes vacances. Ce ne sera pas très long. Tenez bon. À bientôt.