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Thierry Seguin

Thierry Seguin

Passionné de trading et d’analyse technique depuis une vingtaine d’années, ma quête a été de développer et utiliser des outils qui me permettent à la fois de réaliser des gains convenables quelles que soient les conditions de marché, en privilégiant avant tout l’absence de pertes et la préservation du capital, tout en ne rendant pas cette activité trop chronophage ou incompatible avec un emploi salarié.

Essentiellement autodidacte, c’est par maintes erreurs et rencontres diverses (allant d’un escroc révélé sur le tard à des traders de talent qui vivaient à 100% de leur activité depuis au moins dix ans comme Dan Norcini, Benoist Rousseau, Gilles Leclerc, Eric Lefort ou Gwénaël Année), et surtout par une prise directe avec les marchés que j’ai pu peaufiner un système, ou plutôt une philosophie permettant de survivre au pire ennemi du trader, à savoir lui-même, avec pour premier objectif de ne plus faire partie de la grosse majorité des « traders » actifs particuliers qui perdent de l’argent.

Ma conviction est que le premier pas pour un apprenti trader souhaitant gagner de l’argent est d’apprendre à ne plus en perdre. Cela parait évident, et pourtant… pour y parvenir, avoir un plan de trade et un bon money management, connaitre ses forces et ses faiblesses personnelles face au marché pour trouver son propre style de trading, sont pour moi des éléments tout aussi vitaux que d’être capable de s’affranchir des conseils des autres et de réaliser ses propres analyses, seul face au marché et à soi-même.

Au delà du trading, un second centre d’intérêt pour moi est certainement la Communication Non Violente, de Marshall Rosenberg : un outil essentiel permettant de vivre des relations humaines fort différentes, après avoir pris conscience du conditionnement dans lequel nous enferment nos sociétés.

Les deux choses impensables rendues possibles par cette crise du Coronavirus

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Nombre de commentaires : 1 réaction
Bonjour à tous,

Un article hors de mes sentiers battus habituels d'analyse technique.
Que voulez-vous : je suis en quarantaine moi aussi, il faut bien que je m'occupe :)

Rien ne vaut une bonne grosse crise pour prendre des mesures impensables en temps normal, ou pour voir apparaître des événements qu'on n'aurait jamais cru possible.

C'est ainsi que le premier scénario "impensable" jusqu'ici, est en train de se produire : l'austère Allemagne, garante de la stabilité monétaire de la zone Euro, traumatisée par l'hyperinflation de Weimar, est en train de lâcher du lest!

Incroyable...voilà que la vertueuse Allemagne s'y met aussi, sous les encouragements frénétiques de l'Europe, bien entendu.


D'où ma petite question du jour : quel est le second dogme inaltérable de l'Allemagne concernant l'Europe? Si vous ne trouvez pas, cliquez ici.

Hmm...voilà qui changerait pas mal de choses et viendrait à point nommé pour sauver le soldat EURyan, non? Je veux dire, dans un contexte où certaines banques Européennes semblent compter leurs jours sous l'épée de Damoclès de la crise des REPOs depuis l'automne 2019, dans un contexte où la méfiance s'accroit de jour en jour avec pour corrolaire une pression à la hausse des taux d'intérêts sur la dette risquant de rendre intenable la dette des Etats, une bonne fédéralisation de la dette au niveau Européen nous permettrait peut-être de repousser une fois de plus de quelques années la mort clinique du malade et de couler, ô joie suprême, tous ensemble dès la sortie de notre quarantaine programmée dans 18 à 24 mois (bon, desfois j'exagère, hein, m'enfin je m'entraîne à manger une cuillère à café de riz par jour cette semaine, sait-on jamais :) ) 

Et justement, cette mutualisation des dettes des Etats semble de nouveau a l'ordre du jour, en tout cas, on en discute!

Portez-vous bien, et comme dirait Chirac : Mangez du Riz!





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