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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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Patrick Poivre d'Arvor : violence, contrainte et soumission.

Audience de l'article : 1949 lectures
Nombre de commentaires : 1 réaction
Dans les années 1980 j’ai eu l’occasion de recevoir Patrick Poivre d’Arvor pendant une semaine à Sète, dans le cadre d’une manifestation que j’avais créée et que je gérais alors.

Plutôt discret par rapport à sa notoriété, ouvert et sympathique, sans prétention, il a passé la semaine dans le sillage d’une jeune actrice niçoise présente, Sophie Duez, qui était aussi gentille que jolie. Aujourd’hui cet homme est présenté comme un prédateur sexuel. Il m’était apparu comme un dragueur impénitent, mais pas plus que 90% de mes invités, qu’ils fussent hommes ou femmes.

Sans que je m’en sois aperçu, il m’a été rapporté bien après que nuitamment les couloirs des hôtels où je logeais tous ces prestigieux invités bruissaient des pas de ceux qui changeaient de chambre plusieurs fois par nuit.

Aujourd’hui on parle de non-consentement, d’emprise, de contrainte et pour conclure de viol.

Il y a quelques années, peut-être quatre ou cinq, je me suis trouvé à la table voisine de Harvey Weinstein dans un restaurant de plage à Saint Tropez. Je ne l’ai trouvé ni beau, ni discret, mais monumental. Pendant tout le repas se fût un défilé de jeunes starlettes venant se présenter à lui, quasiment en offrande, la plupart accompagnées de leur mère ou d’un chaperon plus âgé.

Aujourd’hui j’assiste, étonné je l’avoue, à une débauche journalière de délations.

Je constate que le viol parait être un phénomène courant, alors que je le pensais exceptionnel. Il toucherait donc la majeure partie des rapports sexuels, tous ceux qui sont engagés sans une attestation signée, valable pour une seule fois, certifiant qu’il n’y aucun quiproquo, que les deux parties sont consentantes et ont leur pleine conscience au moment de la signature.

Cette violence, sexuelle ou non, liée au pouvoir, je l’ai rencontrée en politique évidemment, mais aussi dans le monde des affaires, de la culture, de la recherche, de l’enseignement, sur la route… bref partout.

Le COVID n’est-il pas l’image même de cette violence à laquelle nous sommes tous confrontés à chaque instant de notre vie ? N’est-elle pas inhérente à la vie ?

Psalmodier sans cesse face à la violence, de façon ciblée, est-ce en mesure d’éradiquer ladite violence et surtout est-ce sincère ?

Est-ce bien la violence qui est dénoncée, où ces dénonciations ne sont-elles pas elles-mêmes justement une expression de la violence ?

Avez-vous, quelque part, entendu parler de la violence fiscale ? Celle que vous vivez chaque jour qui passe, qui vous détruit à petit feu, dont vous ne pouvez pas parler, nulle part, que nul n’est prêt à écouter, non.

N’imaginez pas que je sois sans compassion pour celles ou ceux qui sont victimes d’un viol, bien sûr que non. Mais j’ai effectivement peu de tendresse pour ceux qui s’approchent du pouvoir et qui pensent qu’ils ne vont rencontrer que bisounours et bonnes manières. Qui crient quand ils se sont brulés.

Evidemment le pouvoir est dangereux, le tenir à distance est un effort de chaque jour.

La violence ne se dénonce pas dans la presse, ce n’est pas un jeu de rôle pour grand public, elle ne peut pas devenir une violence médiatique réclamant la légitimité de la masse, un lynchage plus violent que les violences qu’il dénonce.

Elle se combat pied à pied, jour après jour, d’abord en soi, puis en affrontant les violents, en les mettant devant leur réalité, pas en leur cédant pour aller crier au scandale ensuite.

Sur ce blog nous affrontons la pire des violences, le pillage. Nous ne nous plaignons pas, nous rendons coup pour coup, quitte à être condamnés pour cela.

Les délateurs publics, les “Charlie”, se donnent bonne conscience à moindre coût, et finalement ne font que rajouter de la violence à la violence.

La délation de masse est une violence majeure, c’est bien ainsi que le fisc l’ordonne et l’utilise.

Bien à vous. H. Dumas
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1 Commentaire

  • Lien vers le commentaire hftrade lundi, 22 février 2021 12:27 Posté par hftrade

    La france est un pays de debiles, il faut pas avoir peur de l'ecrire et le dire, et encore je reste poli. ce dechainement de feministes hysteriques c'est dans la meme veine. aboutissement d'un systeme debile qui a pour nom republique francaise.

    Deja le gars qui crache 70% (sommet OCDE) de son revenu en taxes et venere ses fonctionnaires (qui se foutent bien de sa gueule mais il semble que le francais moyen a toujours pas compris) il a un probleme.

    le communisme ca n'a jamais marché nulle part.