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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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La loi est encore au bout du fusil

Audience de l'article : 1679 lectures
Nombre de commentaires : 1 réaction
Un haut fonctionnaire dont le nom est dissimulé derrière un pseudo fait état, sur le site “Atlantico” quelques fois pertinent… mais pas toujours, du fait que l’obligation vaccinale est illégale parce qu’intervenant pour des vaccins en phase d’essai clinique.

Effectivement, l’utilisation de vaccins ou médicaments en phase d’essai clinique suppose l’accord circonstancié et éclairé du vacciné. L’affaire est entendue, la vaccination obligatoire est illégale. C’est incontestable. Mais la vaccination COVID n’est pas obligatoire, même si le pass sanitaire est une perfidie qui rend de fait la vaccination obligatoire.

Ce qui est contestable est que ce haut fonctionnaire tente de nous faire croire que la loi existe, donc que l’Etat existe. Donc que les hauts fonctionnaires sont nécessairement à la tête de l’Etat.

Alors, opposons à cela la relativité naturelle… du droit.

Nous avons déjà largement développé l’idée que l’Etat n’existe pas que seuls existent les hommes de l’Etat prétendant représenter l’Etat.

Nous sommes obligés de faire remarquer, y compris à notre haut fonctionnaire caché, que la loi n’existe pas non plus. Enfin telle qu’il semble la décrire, c’est-à-dire comme une vérité gravée dans le marbre, découlant d’une sorte d’absolu qui nous obligerait tous.

La réalité n’est pas celle-là.

Nous avons souvent parlé de la faiblesse personnelle des hommes face à la nature qui les oblige à se regrouper pour des besoins ponctuels. Lors de ces regroupements des conventions s’établissent, naturellement ou par la force, ces conventions ne sont rien d’autre que des conventions même lorsqu’on les appelle pompeusement des lois.

Comme toute convention elles sont appelées à être modifiées, elles ne sont pas éternelles, elles ne sont que le fruit de décisions humaines, elles ne sont pas divines comme le croient — où font mine de le croire encore — certains groupes.

Ces conventions ont toutes un point commun, elles sont imposées par la force, qui la plupart du temps les a elle-même créées. Leur attribuer une légitimité au-dessus des opinions publiques est une farce… de mauvais goût, parce que mortelle.

Viendrait-il à l’idée de quelqu’un de faire remarquer à un taliban, armé jusqu’aux dents, qu’il est en infraction dans un sens interdit à Kaboul ? Ou encore à un réfugié de Kaboul en fuite qu’il n’est pas dans la bonne file à l’aéroport ?

La loi s’efface quand les conditions de son application sont dépassées.

Il reste alors l’essentiel : la raison, la recherche de la vérité, l’intégrité, l’honnêteté, l’harmonisation des intérêts individuels et collectifs, toutes choses qui nous concernent tous, sans référence aux conventions passées ou en cours, mais dans le cadre de la mise en place de nouvelles conventions adaptées à la crise.

C’est dans cadre qu’il faut analyser la vaccination obligatoire.

L’affaire n’est pas simple. Depuis plusieurs décennies les scientifiques piétinent, s’impatientent, avec l’espoir d’avoir progressé en génétique et d’être capables de faire faire un grand pas à l’humanité en ce domaine.

Se trompent-ils ? c’est fort possible, mais ce n’est pas certain.

En tout cas aujourd’hui la preuve semble être faite que le vaccin est un échec puisqu’il n’empêcherait ni le développement de la maladie ni sa transmission, d’après les premiers chiffres disponibles mondialement.

Dans cette réalité que nous découvrons, qu’en est-il de la position des politiques, des hommes de l’Etat qui peuvent décider pour nous par la force ?

D’abord nous constatons objectivement de leur part une suite de mensonges inacceptables, souvent relevés dans des caricatures qui les rendent ridicules. Mais au delà du rire ces mensonges sont d’une grande gravité.

Etablis pour notre bien ? Qu’importe, là n’est pas la question. Ils entachent toutes les décisions des hommes de l’Etat dans l’affaire COVID.

L’affaire des vaccins ne sera-t-elle qu’un fiasco par rapport à COVID, ou, plus grave, le vaccin aura-t-il des conséquences ultérieures sur la santé des vaccinés ? Nul ne le sait il semblerait.

Que vient faire la loi dans ce désordre mondial ? Rien, elle n’est pas adaptée.

Les hommes de l’Etat sont dans le cadre de leurs devoirs de morale, de justice, d’efficacité, pour lequel normalement ils se présentent au suffrage universel, et non face à je ne sais qu’elle loi illégitimement déclarée absolue.

Espérons qu’ils agissent sincèrement — ce qui objectivement ne parait pas évident — en dehors de toute ambition personnelle, au service du groupe, et qu’ils auront l’honneur et le courage d’arrêter les frais s’ils perçoivent qu’ils se sont trompés, qu’ils accepteront de payer personnellement le prix de leurs erreurs éventuelles.

C’est cela qui compte et non je ne sais qu’elles lois opposables mais décalées par rapport aux faits.

La montée de l’agressivité entre ceux qui sont pour et ceux qui sont contre le vaccin ou le pass sanitaire est contre-productive et dangereuse. Elle sépare les familles, dresse les hommes les uns contre les autres, face à un problème relativement grave, mais marginal par rapport à ceux qui arrivent et pour lesquels la cohésion de tous sera indispensable et… probablement terriblement difficile à obtenir.

Il suffit de parler de Bercy, des impôts, de l’égalitarisme…. pour s’en convaincre.

Bien à vous. H. Dumas
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1 Commentaire

  • Lien vers le commentaire hftrade mardi, 24 août 2021 15:18 Posté par hftrade

    Il suffit de refuser le jeu, vaccin , taxation, puisque le jeu est perdant a tous les coups

    - le debat vaccinal n'a pas lieu d'etre, c'est un piege a cons . L'URSAFE, c'est aussi un piege a cons.

    - refuser un jeu perfdant a tous les coups c'est quitter la france pour ceux qui sont victimes de Bercy. Faut-il repeter aux francais que la republique francaise est un etat voyou en terme fiscal ? il parait que le systeme de santé francais est le meilleur au monde, mais il y a plus de masques a deux balles pour le personnel soignant, on reduit le nombre de lits etc

    - Concernant l'escroquerie URSAFE, j'ai appris que la retraite serait a 65 ans pour les francais. L'etat francais a reussi ce que Madoff a raté , en jouant sur l'amour que le francais a pour ses fonctionnaires et son etat. A cote de ca les fonctionnaires francais jouissent d'un systeme de retraite particulier non ? Bonjour  le foutage de gueule non ?


    - concernant ces pillards de Bercy dans leur bunker du bord de Seine ils se couchent comme le monde entier devant les multinationales (imposition minorée au cas par cas). c'est l'entrepreneur francais qui se fait baiser par la republique. Bonjour le foutage de gueule

    En fait c'est bien simple j'ai pas envie d'ecrire un article et expliquer la France aux francais, mais pour moi c'est le pays du foutage de gueule