Henri Dumas
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Libéral convaincu, je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com
Et maintenant
Audience de l'article : 1738 lecturesDepuis des années nous étions convaincus que la gestion de nos sociétés ne pouvait pas perdurer telle que nous la voyions être pratiquée.
La connivence qui a remplacé dans tous les postes clefs la compétence, le mérite. Le crédit qui a remplacé les économies comme méthode d’achat ou d’investissement. Les bénéfices de ceux qui travaillent, en créent, prélevés au profit de ceux qui ne font rien et accumulent les pertes professionnelles ou personnelles. La responsabilité et la création entourées d’une suspicion légale maximum. L’inculture largement affichée avec sa compagne l’incompétence, toutes deux proportionnelles aux gesticulations et au bruit de leur supporters.
Tout cela mis en exergue par une organisation politique et judiciaire complice affichée des tenants de ce système.
Résistants à tout cela, avons-nous bien perçu que ça y est, que la catastrophe pressentie est là, derrière nous, appartenant déjà au passé ? Ce n’est pas sûr.
Le déguisement dont s’est affublée la crise nous a abusé. Se déguiser en grippe mortelle, il fallait y penser.
Pendant que nous nous confinions, que nous pinaillions sur l’utilité du masque, le complot du vaccin, les massacres des EHPADS, que nous comptions nos morts, la crise s’installait discrètement, définitivement.
Ceux qui travaillent pour de vrai ont été plutôt débordés. Il fallait assumer pendant que les autres, les inutiles du système, les plus nombreux, restaient sur le bord du chemin et regardaient passer les épaves de la crise : eux-mêmes et leurs comportements dévastateurs.
Leurs complices politiques et légaux ont immédiatement fabriqué de la fausse monnaie pour qu’ils croient que la machine était encore en activité. Aujourd’hui encore ils s’agitent sur tous les fronts, y compris les plus inutiles, pour faire croire que la société défunte existe toujours.
Trop tard, la partie est jouée, c’est fini, la crise a tout emporté.
Nous sommes donc dans l’après-crise, inutile d’attendre sa survenance.
Que va-t-il se passer ?
Si nous regardons l’histoire, ce type de situation n’est pas nouveau, il se conclut toujours par une catastrophe : une guerre ou une dictature.
La cause en est simple. Il est intrinsèquement impossible aux initiateurs de l’accident de se remettre en question, c’est d’ailleurs à cause de ce défaut qu’ils sont ce qu’ils sont.
Or, pour que la société dérape à ce point il a fallu qu’ils soient suffisamment nombreux, majoritaires.
Cons ils sont, cons ils resteront. Malhonnêtes ils sont, malhonnêtes ils resteront. Faux-culs et traites ils sont, faux-culs et traitres ils resteront. Egoïstes et sans vergogne ils sont, égoïste et sans vergogne ils resteront. En clair, il n’y a rien à espérer d’eux, tout à craindre.
La crise passée, la catastrophe qu’elle va induire est en route, quel déguisement va-t-elle prendre ?
Nous sommes encore une fois aveugles, il y a tant de travail à faire pour ceux qui sont dans l’action, si peu nombreux.
Les déclencheurs du drame sont actuellement aphones, justes étonnés face aux conséquences de leur comportement. Ils ne vont pas tarder à entrer dans la phase conséquence, qui ne va manquer de les surprendre, lourdement.
Et là, fidèles à leur fonctionnement, ils vont d’abord accuser le voisin, puis mettre en place une organisation qui pillera mortellement ce voisin désigné.
Pour concrétiser cela ils vont devoir confier leur avenir à un champion du mensonge, de l’escroquerie, de la folie, qui ensuite, mais bien plus tard, les anéantira.
Disons qu’une décennie est le temps de ces mutations.
Dans ce laps de temps, les individus responsables vont, comme à leur habitude, travailler, assumer et ne pas se rendre compte de l’enfer vers lequel la crise, qu’ils ont à peine perçue, les entraine.
Ainsi va l’histoire, la plupart du temps écrite par les fossoyeurs, les fous, rarement par les raisonnables, les lucides, les solides, ceux qui assument la survie des hommes.
Les psychopathes et les escrocs font l’histoire, les autres, tant bien que mal, essaient de maintenir la vie sur terre.
Bien à vous. H. Dumas
1 Commentaire
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mercredi, 07 octobre 2020 15:26
Posté par
Max
Bonjour,
On dirait du Gilbert Bécaud !
Il n'y a rien à ajouter à ce constat et au diagnostic.
Mais après Et maintenant, il y a aussi QUE FAIRE ?
That is question ! To be or not to be ?
Entre les psychopathes et les escrocs, d'une part et les autres (il y a de tout), que peuvent faire ceux qui ne veulent aller ni d'un coté ni de l'autre ?
Docteur Dumas, SVP une ordonnance !
Je vous promet de ne pas utiliser ma carte vitale mais plutot ma Visa Premium.
Cdlt.