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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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Ces magistrats complices

Audience de l'article : 2110 lectures
Nombre de commentaires : 3 réactions
L'observation de cette corporation ne lasse pas d'étonner.

Qui sont-ils ?

Ils sont la force, le bras armé de l'Etat. 

Lorsque l'Etat devient assassin, comme en 1940, ils sont les complices des assassinats.

Lorsque l'Etat devient prédateur, ils deviennent complices du vol, donc voleurs.

Lorsque l'Etat devient tentaculaire, oppressif, se mêle de régenter chaque minute de notre vie, ils deviennent des inquisiteurs.

Lorsque l'Etat est corrompu, ils le sont aussi.

Qui voudraient-ils être ?

Ils voudraient être indépendants, au-dessus de l'Etat qui s'impose à nous tous. Comment cela serait-il possible ?

Au-dessus de l'Etat il n'y a rien de réel, tout est virtuel, aspiration pour les rêveurs, projection pour les utopistes lucides ou délirants, mais rien de concret.

C'est là que certains placent Dieu, cet être intemporel.

Les magistrats se verraient bien assis à ses côtés. 

Qu'aimerions nous qu'ils soient ?

De simples arbitres attentifs, lucides et courageux, capables de se pencher avec compréhension, compétence et intelligence sur nos misères et nos conflits pour en juger

En réalité

Ils ne sont que des hommes, la plupart du temps très ordinaires, pris en sandwich entre l'Etat et leur vision de l'Etat, qui ne peuvent avoir pour nos problèmes aucune considération.

S'ils servent l'Etat, nous sommes leurs esclaves.

S'ils servent leur vision de l'Etat, nous sommes leurs cobayes.

Du fait qu'ils se réclament les représentants de la "Justice sur terre" ils nous jugent, tout en nous déniant le droit de les juger.

Et pourtant voici un exemple de magistrats complices de vol.

Dans le jugement accessible avec le lien suivant : link les magistrats entérinent un vol d'Etat.

Evidemment le voleur est Bercy qui s'accapare une TVA de 450.500 € dont il refuse le remboursement au moyen de mesures dilatoires.

Ces mesures sont les suivantes :

- Recours à la notion de la chose jugée, alors que les premiers jugements ont été obtenus à l'aide de mensonges.

- Persévérance dans le déni, en occultant la réalité, en la remplaçant par l'interprétation perverse qu'en fait Bercy.

Je pense pouvoir vous convaincre de mes affirmations à la lecture de mon mémoire d'appel accessible avec le lien suivant : link.

Mauvais temps pour les entrepreneurs et les libéraux, mais ça nous le savions déjà.

Par contre, ce qui est moins évident mais qui s'impose après réflexion, c'est qu'il est impératif de s'engager, chacun avec ses moyens, dans l'action politique dont découle l'Etat.

Car, c'est de la bonne santé de l'Etat que dépend l'équilibre de la justice et non l'inverse comme souhaiteraient le faire croire le syndicat de la magistrature ou autres magistrats despotiques.

Bien cordialement. H. Dumas
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3 commentaires

  • Lien vers le commentaire Henri Dumas lundi, 08 juillet 2013 10:35 Posté par Henri Dumas

    Oups: desseins, pas dessins.
    La relecture n'est jamais suffisante, pour éviter les coquilles !!!
    C'est dingue.

  • Lien vers le commentaire Henri Dumas lundi, 08 juillet 2013 08:37 Posté par Henri Dumas

    Merci pour ce commentaire extrêmement constructif.
    Initialement, sans être aucunement frappé par la "complotite aigüe", il faut savoir que le fisc a probablement été sollicité par mon associé initial, un considérable institutionnel. En effet lors de sa première venue, le redressement été si stupide que le fisc a tout simplement abandonné la créance…
    Mais, ma réaction, probablement excessive, m'a mis la machine fiscale à dos.
    La suite est de ce fait totalement irrationnelle, borderline en droit, sans frein.
    C'est cette puissance administrative et bureaucratique non maîtrisée que je dénonce, sans autre prétention qu'un témoignage.
    Aurais-je pu m'y prendre autrement ? Evidemment, on peut toujours s'y prendre autrement. 
    Mais l'organisation fiscale n'aurait pas changé, or c'est elle qu'il faut changer.
    La question n'est pas de savoir s'il est possible de contourner cette folie, il faut l'éradiquer. 
    La technique n'est pas en jeu, c'est le fond qui ne va pas. Il ne peut pas se modifier par accumulation de techniques, au contraire. 
    Les allemands avaient en son temps trouver des techniques imparables, croyaient-ils, pour assouvir leurs odieux dessins, tellement imparables que certains juifs ont cru limiter la casse en discutant. (lire Eichmann de Hannah Arendt) 
    Bien cordialement.