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Charles Sannat

Charles Sannat

Charles Sannat est diplômé de l’École Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d’Études Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information (secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires et intègre la Direction de la Recherche Économique d'AuCoffre.com en 2011. Il enseigne l'économie dans plusieurs écoles de commerce parisiennes et écrit régulièrement des articles sur l'actualité économique.

Charles-Sannat

Blague du jour: Pour le premier ministre l’économie belge est « sur la bonne voie »

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Hooo mes pauvres zamis belges…. comme je suis triste pour vous… votre « crasse » politique est pire que la nôtre… quoique cela puisse avoir du bon puisque parfois vous n’avez plus de gouvernement… là je vous envie…

Bref, le chef des mamamouchis belges a un humour économique génial …

« L’économie belge est sur la bonne voie, la voie d’une croissance durable pour maintenir un standard de vie de qualité »…

Ho bin, mes pauvres, vous allez vous faire ruiner, parce que si la seule ambition de vos mamamouchis c’est de vous maintenir un standard de vie de qualité il faut évidemment comprendre que vous allez voir votre niveau de vie baisser drastiquement…

Rassurez-vous, chez nous c’est hélas la même chose.

Charles SANNAT

charles michelBRUXELLES, 13 octobre (Xinhua) — Lors de son discours de politique générale adressé au Parlement fédéral, le Premier ministre belge Charles Michel a déclaré que l’économie belge « est sur la bonne voie,la voie d’une croissance durable pour maintenir un standard de vie de qualité. »

Dans la transcription officielle du discours, Charles Michel annonce aux parlementaires que les derniers chiffres sur l’économie belge prédisent une croissance de 1,3 % en 2015, soit 0,2 % de moins que la moyenne de la zone Euro.

Il précise que la croissance des exportations devrait atteindre 3,4 % en 2015 et 4,2 % en 2016. Charles Michel a également annoncé une diminution du nombre de faillites de 14 % ainsi qu’une augmentation de 31 % des crédits hypothécaires par rapport à l’an dernier.

« Nous sommes optimistes mais nous ne sommes pas naïfs », a-t-il déclaré en ajoutant « La réalité économiques est en mouvement perpétuel. Il y a des incertitudes qui pèsent sur la croissance mondiale. Nous devons donc renforcer nos avantages comparatifs et corriger nos points de fragilité ».

M. Michel a évoqué les réformes économiques – baisses des cotisations sociales, exonération de charges pour les premiers emplois dans les PME – achevées l’année passée. Néanmoins, il reconnaît que des efforts non négligeables doivent encore être menés pour en finir avec le « handicap salarial » qui entrave la compétitivité de l’économie belge.

« Le travail en Belgique est trop taxé. Toutes les enquêtes internationales l’ont montré », a-t-il continué. « Ce handicap salarial avec nos pays voisins a détruit ces dernières années des milliers d’emplois et a empêché la création de milliers d’autres ».

Le virage fiscal annoncé en début de semaine et qui prendra effet en 2016 a pour but d’augmenter de 83 euros nets par mois les plus bas salaires.

« C’est une réforme historique », insiste-t-il.

Autre thème abordé par le Premier ministre : la sécurité nationale et les menaces terroristes qui pèsent sur l’Europe. « Nous devons travailler sans relâche pour la sécurité de nos concitoyens », dit-il. « Nous devons plus que jamais protéger nos valeurs démocratiques ».

Sur les questions de Défense, Charles Michel précise que « En Syrie, l’option militaire n’est pas exclue, dans le respect du droit international et au sein d’une coalition ».

Pour conclure son discours de politique générale, Charles Michel rappelle « La Belgique est un partenaire fiable et crédible. En Irak, en Afghanistan, au Mali, en Afrique ou en Méditerranée et parfois même dans nos rues, nos militaires travaillent pour notre sécurité ».
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