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Charles Sannat

Charles Sannat

Charles Sannat est diplômé de l’École Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d’Études Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information (secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires et intègre la Direction de la Recherche Économique d'AuCoffre.com en 2011. Il enseigne l'économie dans plusieurs écoles de commerce parisiennes et écrit régulièrement des articles sur l'actualité économique.

Charles-Sannat

Renzi: la politique anti-russe ne mène nulle part

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Voilà une déclaration  qui est parfaitement censée…

Ce n’est pas faute de le répéter depuis plusieurs mois.

Ce n’est pas faute non plus de dire que l’alliance avec la Russie serait inéluctable.

Nous y arrivons. 132 morts après.

Résultat pathétique d’une politique sinistre et stupide de nos dirigeants.

Charles SANNAT



Selon le premier ministre Matteo Renzi, l’hostilité affichée par l’Europe à l’encontre de la Russie ne donnera pas de résultats positifs.

La politique antirusse pratiquée par l’Europe ne mène nulle part, estime le président du Conseil italien.

« La guerre froide ne peut plaire qu’à ceux qui ne l’ont jamais connue. La campagne antirusse en Europe ne mène nulle part », a déclaré M. Renzi dans une interview à la chaîne de télévision italienne Sky TG24.

D’après lui, l’Italie, qui a toujours « témoigné son soutien total et son amitié aux Américains », souhaite que la Russie reprenne une large coopération avec l’Occident.

« Vaut mieux tard que jamais. Cet avis est aujourd’hui partagé par la plupart des gens », a constaté le président du Conseil italien.Tout en soutenant l’idée de former une large coalition contre le groupe terroriste Etat islamique (Daech), Matteo Renzi a néanmoins souligné que l’Italie n’était pas prête à lancer une opération aérienne en Syrie.

« Il n’existe pas un seul soldat italien sur les champs de bataille contre Daech. Sur le plan technique, l’Italie peut envoyer des avions en Irak, mais pas en Syrie », a affirmé le premier ministre.

Il a également indiqué qu’il ne voulait pas la répétition du scénario libyen.


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