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Charles Sannat

Charles Sannat

Charles Sannat est diplômé de l’École Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d’Études Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information (secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires et intègre la Direction de la Recherche Économique d'AuCoffre.com en 2011. Il enseigne l'économie dans plusieurs écoles de commerce parisiennes et écrit régulièrement des articles sur l'actualité économique.

Charles-Sannat

Le Medef demande aux patrons de signaler les éventuelles radicalisations de salariés

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Le Medef est une véritable chambre d’enregistrement des décisions gouvernementales.

Il y a un mois la mode était aux migrants puisqu’un petiot s’était noyé. le Medef était donc prêt à donner du travail à tous les migrants du monde entier et sans limitation de nombre… à se demander pourquoi il y a encore du chômage en France.

Bref, cette semaine, le Medef est prêt à dénoncer tous les intégristes et tous les radicalisés, à qui part ailleurs les entreprises laissent des salles de prières en toute connaissance de cause…

Charles SANNAT



Les « secteurs à forte intensité de main-d’œuvre », sont plus sensibilisés que d’autres quant au risque de radicalisation religieuse, selon le vice-président du Medef.

Le vice-président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux demande aux chefs d’entreprise de signaler à la police les signes avant-coureurs de radicalisation religieuse chez un salarié. Il a estimé néanmoins que, dans le monde l’entreprise, de telles situations sont rares.

Un responsable du Medef a conseillé mardi 17 novembre aux chefs d’entreprises qui décèleraient des signes avant-coureurs de radicalisation religieuse chez un salarié de les signaler à la police, tout en soulignant que ces cas restaient exceptionnels. Si « quelqu’un refuse de travailler sous les ordres d’une femme ou de serrer la main d’une femme, (…) là le devoir du chef d’entreprise, après avoir fait les remarques nécessaires, c’est de signaler à la police ce comportement », a estimé le vice-président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, au micro de France Info.

Le responsable patronal a insisté sur le caractère exceptionnel de telles situations: « Dans la très grande majorité des cas, c’est le fait d’avoir un travail, de gagner sa vie, de pouvoir progresser qui intègre et c’est quand on n’est pas au travail (sic) qu’on peut basculer ». Mais « il y a quelques cas de gens qui sont intégrés au travail et qui se radicalisent ». Pour éviter ce type de comportement, le Medef « a publié il y a quelques mois un guide de bonnes pratiques ».

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