
La saisonnalité en bourse doit devenir un allié incontournable et vous seriez surpris de découvrir ses bienfaits sur le long terme ci-dessous. Un graphique de chez Investech research nous indique l’énorme différence entre un investisseur nommé A qui profite des saisons boursières selon certaines périodes depuis 1960 versus un autre nommé B champion du monde du mauvais Timing qui lui, n’investit qu’au plus mauvais moment de l’année (mai/octobre)

Monsieur A garde ses actions uniquement de Novembre à Avril (sell in may and go away). Bien évidemment, les performances du passé ne présagent pas toujours de l’avenir et il y a des exceptions à la règle sinon ce serait trop facile. En 1958 par exemple, le Dow Jones a pris plus de 19% dans le soi-disant pire mois de l’année et 18.9% en 2009. Si cette approche devait se poursuivre dans les prochaines années la meilleure idée serait de concentrer notre portefeuille sur le marché boursier pour ces six mois de l'année, et placer nos actifs sur le marché monétaire pour les autres six mois, nous devrions ainsi profiter de la période où les gains sont les plus forts et éviter les mois où le marché a tendance à végéter.