Charles Sannat
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Charles Sannat est diplômé de l’École Supérieure du Commerce Extérieur et du Centre d’Études Diplomatiques et Stratégiques. Il commence sa carrière en 1997 dans le secteur des nouvelles technologies comme consultant puis Manager au sein du Groupe Altran - Pôle Technologies de l’Information (secteur banque/assurance). Il rejoint en 2006 BNP Paribas comme chargé d'affaires et intègre la Direction de la Recherche Économique d'AuCoffre.com en 2011. Il enseigne l'économie dans plusieurs écoles de commerce parisiennes et écrit régulièrement des articles sur l'actualité économique.
BlaBlaCar: une start-up française bat un record
Audience de l'article : 2036 lecturesDépassés les taxis par Uber,
dépassées les banques par le crowfunding,
dépassés les hôtels par Airbnb et la liste peut se poursuivre ainsi indéfiniment.
C’est une mutation globale de nos modes de production, de travail, de consommation et encore, vous n’avez pas vu la révolution robotique à l’oeuvre et pourtant elle vient déjà de commencer.
Charles SANNAT
Le site français de covoiturage BlaBlaCar a annoncé, jeudi, avoir levé 200 millions de dollars (177 millions d’euros), un montant record pour une start-up française.
La secrétaire d’État chargée du Numérique, Axelle Lemaire a félicité la start-up française BlaBlacar pour être rentrée dans le club fermé des « licornes » (les jeunes pousses non cotées qui valent plus d’un milliard de dollars).
La somme collectée, auprès notamment des fonds d’investissement américains Insight Venture Partners et Lead Edge et du suédois Vostok New Ventures atteint 200 millions de dollars ce qui permet à la société d’être valorisée à 1,6 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros).
Créée en 2006 sous le nom de covoiturage.fr, la jeune pousse basée à Paris revendique déjà plus de 20 millions de membres dans 19 pays séduits par ce mode de transport économe. Son système consiste à mettre en relation des automobilistes proposant des trajets et des voyageurs, une partie de la somme revient au site jouant le rôle d’intermédiaire.
En Russie, le système fonctionne depuis 2014 et est gratuit. « A partir de 2016, on va vraiment mettre les voiles vers l’Asie », annonce Nicolas Brusson, un des fondateurs de la start-up. « Aujourd’hui quand on voit comment on marche en Russie, en Turquie, en Inde ou en Europe, je me dis qu’il n’y a pas vraiment de raisons pour que cela ne soit pas le cas en Asie », espère-t-il.
Source ici
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