1) Hugh Young
Spécialiste du secteur asiatique, Hugh Young a plus de vingt années d’expérience dans la gestion de fonds. Né en 1958, Hugh rejoint Aberdeen en 1985 après avoir travaillé pour MGM Assurance et Fidelity. En 1992, il installe le siège Asie-Pacifique d’Aberdeen à Singapour. Il joue alors un rôle clé au sein de l’équipe d’investissement dirigée par Peter Hames. Hugh est ensuite nommé à la tête des marchés émergents et il supervise actuellement les marchés Asiatiques, Européens, Moyen-Orient, Africains et sud-américains. Diplômé en politique de l’université d’Exeter, Hugh gère une large gamme de fonds pour Aberdeen.
Ses performances moyennes cumulées depuis ses débuts sont estimées à +909% par rapport au FTSE100 !
Ce gestionnaire de fonds travaille désormais à son propre compte, dans l’entreprise Woodford Investment Management, il était un grand activiste au sein d’Invesco Perpetual de 1988-2014.
Des ingrédients qui ont fait la renommée et le succès de ce gestionnaire de fonds britannique. En l’espace de 16 ans, Invesco Perpetual est passé de 10 000 £ en 1988 à 232 000 £ en 2014. Au cours des dernières années, cet investisseur de talent a conseillé de rester à l’écart des grandes banques.
3) James Henderson
Né en 1961 au Royaume-Uni, James Henderson a commencé sa carrière en 1983 chez Henderson Global Investors en tant que gestionnaire de fonds. En 1990, il devient le directeur du fonds « The Lowlands investment trust ». Récemment, il a aussi pris la tête d’un autre fonds « Global Equity Income ».
Ses performances moyennes cumulées depuis 1990 sont estimées à +1490% par rapport au FTSE100 !
Il a une approche contrarienne sur des valeurs et préfèrent viser des entreprises en général sous capitalisées.
4) Nigel Thomas
Actuellement gestionnaire de AXA Framlington UK Select Opportunities, il est considéré comme ayant un des portefeuilles d’actions anglaises des plus attractifs. Ses performances moyennes cumulées depuis 1990 sont estimées à +1930% par rapport au FTSE100 !
La stratégie de ce gestionnaire est d’investir dans des entreprises britanniques de toutes tailles. Par année son fonds croit en moyenne de 10 à 15%. Nigel Thomas reste à l’écart des compagnies aériennes ou de transport maritime qu’il juge trop risquées.
Conclusion :