
Engin-ear
Passionné par l'économie et la finance.
La réligion nous dit ce que nous devons être, la loi nous dit ce que nous ne devons pas être, l'économie nous dit ce que nous sommes réelement.
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Il y a un grand risque reputationnel et électoral alors que l'enjeu financier est modique.
De toute façon, l'épargne privée, déjà punie par les taux à zéro, sera diluée par les injections monétaires sous forme de nouvelles dettes d'état...
Mais quelle est l'appliquabilité des analyses techniques dans un contexte historique qui ne s'est jamais produit :
Le confinement qui étouffe l'économie réelle sur toute la planète, les banques centrales qui inondent la bourse de liquidités pour éviter un AVC à l'économie et qui gonflent les actions (entre autre pour maintenir la solvabilité des institutions)?
Ceci est de la rhétorique politique pure.
Faut pas s'y focaliser.
Quelle était la véritable mortalité COVID, quelle était la surmortalité provoqué par le confinement, quels étaent les dégâts psychologiques à cause du martelement à la télé "..Morts... Morts... Morts...".
Quel était le coût en PIB, en endettement, pouvoir achats, inflation/déflation, chômage.
C'est seulement en regardant les faits et en se comparant avec les pays voisins que l'on saura.
Je lis les actualités de tous les pays significatifs, je constate que c'est partout pareil.
Il y a quelques mini-pays aux conditions sympatiques, mais ils ne pourront pas matérialement accueillir 60 millions de fugitifs.
à ma connassance, ce genre de fruit est apporté exclusivement par l'expansion économique, quand le pays génèrent de plus en plus de richesses ET les partage de manière équitable.
Les lois ne servent à rien quand le gâteau à partager stagne ou diminue.