Si vous n’avez pas encore ces acquis et que vous ne vous sentez pas sûr de vous, cela ne doit pas vous bloquer, vous empêcher d’avancer. Il faut tout simplement vous appuyer sur des gens plus expérimentés.
Guillaume par exemple est investisseur immobilier depuis une dizaine d’années. Souhaitant ne plus dépendre du « système » – celui qui vous promet la retraite à 60, 62, 65 ans, euh en fait je ne sais même plus mais vous savez c’est ce système qui risque de péricliter – il a multiplié les opérations locatives et réalisé quelques belles plus-values en achat revente. Aujourd’hui son patrimoine est constitué de plusieurs appartements. Mais, son péché mignon ce sont les immeubles de rapport. Je ne peux pas lui donner tort vu les multiples avantages de ce type de bien (j’aurais l’occasion d’en reparler prochainement).
Aujourd’hui, il s’est créé un belle rente avec ses revenus locatifs et lorgne d’autres investissements, cette fois à l’étranger, pour diversifier son porte feuille immobilier. Guillaume a également souhaité transmettre ce qu’il a appris au cours de ces années d’investissement. C’est pourquoi il a créé un guide de 49 pages « 40 astuces de l’achat immobilier ».
Que vous souhaitiez acquérir votre résidence principale ou investir, ces 40 conseils vous permettront de gagner plusieurs milliers d’euros dès l’achat. Car, comme vous devez le savoir, l’achat est un moment crucial dans l’immobilier. Si vous vous ratez, il sera quasi-impossible de vous en remettre.
Guillaume m’a proposé de parler de son guide. Après l’avoir lu, je peux vous dire qu’il est truffé de recommandations essentielles pour votre réussite.
En voici deux qui m’ont particulièrement plu – c’est cadeau !
La négociation : évitez l’erreur que tout le monde commet.
Ils le font tous.Les acheteurs « descendent » le bien du vendeur, ils soulignent tous les défauts, en espérant que le vendeur baissera son prix.
C’est exactement l’inverse qui se produira.
L’immobilier, c’est affectif. Le vendeur a vu grandir ses enfants dans cette maison, il n’a pas envie de garder en souvenir d’avoir vendu à ce sale type qui lui a dit que sa maison était une poubelle.
Non, il va préférer vendre « sa » maison à « quelqu’un de bien ».
Flattez-le. Dites-lui comme sa maison vous plait, comme il a dû être heureux ici, et comme vous aimeriez faire vous aussi grandir vos enfants dans ce bel endroit.
Il vous appréciera, et on a tendance à plus facilement rendre service à quelqu’un que l’on
apprécie plutôt qu’à quelqu’un que l’on déteste n’est-ce-pas ?
Alors, une fois qu’il vous apprécie, faites-lui votre offre en lui disant que, malgré tout l’intérêt que vous portez à sa maison, vous ne pourrez pas aller au-delà de tel montant, car la banque ne suivra pas.
Je ne dis pas qu’il acceptera forcément. Je dis simplement que cette façon de faire aboutira deux fois plus souvent que l’autre, et qu’en plus elle rendra l’expérience beaucoup plus agréable pour tout le monde.
Les syndics : ce qu’il faut savoir et ce que vous pouvez leur demander.
Qui dit copropriété, dit souvent syndic.Et qui dit syndic, dit souvent dépenses importantes.
Vous devez vérifier dans le détail le montant des charges.
Que comprennent-elles ? Leur montant est-il normal ? Ont-elles tendance à augmenter au fil des années ?
D’une manière générale, préférez une copropriété avec un syndic bénévole (souvent un des propriétaires se charge de la gestion lui-même). Cela vous coûtera bien moins cher en charges.
Mais ce n’est pas toujours possible.
Sachez que le syndic a, si vous êtes acheteur, l’obligation de répondre à certaines de vos
demandes.
Vous pouvez et devez lui demander différentes choses :
- les comptes rendus des trois dernières Assemblées Générales de copropriété. Cela vous permettra de voir si d’importants travaux sont envisagés, ou ont été faits ;
- les éventuelles procédures en cours contre la copropriété ;
- l’état des comptes (cela vous permettra de voir si parmi les autres propriétaires, il y a de mauvais payeurs, ce qui n’est jamais bon signe).
Pour éviter cela, pensez à vous mettre d’accord avec le vendeur pour acheter « net de frais ».
Cette pratique vous permet, avec l’accord du vendeur, de ne pas payer le prorata des charges et taxes déjà payées par ce dernier (généralement prorata des charges de copropriété et prorata de la taxe foncière). Cela vous fera économiser quelques centaines d’euros.
Le vendeur ne sera peut-être pas ravi, mais il ne va pas manquer la vente et recommencer à zéro avec quelqu’un d’autre pour quelques centaines d’euros Demandez cela, dès le départ au notaire et insistez même s’il vous dit que ce n’est pas la pratique habituelle.
Voilà, il vous reste 38 autres astuces à connaître. Tout est dans le guide de Guillaume. Il vous suffit de cliquer sur le lien affilié suivant : 40 astuces de l’achat immobilier.