Voilà un homme pour qui j’ai de l’estime, je peux même dire que je l’adore quand il tombe directement dans la boue qui est ma vie de tous les jours. Je trouve formidable sa stupéfaction.
Vivant dans le milieu du pouvoir administratif, carrément en haut, il ne pouvait pas percevoir que la haine de l’administration pour les assujettis qui voudraient se croire libres est abyssale, illimitée.
Le voilà qui froisse son administration, il pense en avoir le droit. Catastrophe, il apprend sur le tas que ce n’est pas possible.
Il subit la haine de cette administration, il prend conscience qu’elle a des zélotes, il est le proscrit du nouveau siècle, le bouc émissaire, alors qu’il se pensait libre…
Il va jusqu’à dire qu’il faudrait que la justice… et patati et patata… il lui reste encore à découvrir que la justice n’est pas de son côté, mais du côte de ceux qui ont toujours été ses ennemis, justes discrets tant qu’il n’a pas fait mine d’être libre.
Puis l’Eglise
Le journal Le Monde titre : “Il y a eu « entre 2 900 et 3 200 pédocriminels » dans l’Eglise catholique en France depuis 1950, selon le président de la commission d’enquête, Jean-Marc Sauvé.”
Et pourtant ce sont les prêtres qui régissaient notre sexualité lorsque j’étais enfant. Qui nous obligeaient à nous confesser de nos petits plaisirs naturels.
Je pense que les chiffres du Monde ne sont pas à la hauteur du problème, il en manque…beaucoup.
Conclusion
Ces problèmes sont directement liés au pouvoir, aux attitudes liberticides liées qui permettent aux censeurs, aux donneurs de leçons, de maintenir la population dans la servitude.
Ici, nous combattons cela, Bercy est le fer de lance, le bataillon avancé, de tout ces esclavagistes.
Il faudra bien les pendre, ils ne se remettront jamais en question, car il ne faut pas perdre de vue que harceler, torturer, soumettre, ils aiment ça, ils n’aiment que ça.
Tout le reste de leurs discours, l’égalité, la protection de la planète, etc… n’est que l’excuse qui leur permet d’assouvir leur passion de pouvoir, leur satisfaction de contraindre, de faire du mal.
Bien à vous. H. Dumas