Quelques-unes de ces incohérences qui nous perturbent gravement :
- le “vaccin” contre COVID, contrairement à ce qui nous est laissé supposer, n’est pas gratuit, nous le payons par l’impôt.
- Bien pire, nous n’en connaissons pas le coût, alors que c’est nous qui payons.
- Le “vaccin” obligatoire, tout rappel confondu, serait efficace à un gros 50%, sans qu’une certitude scientifique ne soit apportée sur ces chiffres. C’est un peu comme si les hommes de l’Etat nous obligeaient à leur acheter une voiture qui aurait une chance sur deux de voir sa direction se casser en nous projetant contre un arbre.
- Étrange similitude entre COVID et collectivisme. C’est à dire un projet collectif qui isole. Un même révélateur d’isolation : la peur de l’autre par qui arriverait le déchaînement de la violence mortelle.
- L’exigence du sacrifice du plus grand nombre au profit incertain d’une minorité dont le destin ne change pas malgré ce sacrifice. Un échec total, qui justifie paradoxalement l’intensification du sacrifice inutile.
- Une élite non concernée qui s’épanouit et se renforce au détriment de l’ensemble, qui échappe aux contraintes sans conséquence notable pour elle.
- Supporterions-nous un chauffage qui ne chauffe pas, un réfrigérateur qui ne rafraîchirait pas, un transport immobile ? Comment pouvons-nous accepter un “vaccin” qui ne vaccine pas ? Qui simplement réduirait le risque d’une maladie dont on sait que son destin naturel est de disparaître. Un peu comme la carence du chauffage s’estompe l’été venu, sans besoin du chauffagiste.
- Guerres napoléoniennes, 14-18, 39-45 et COVID, même scénario : sacrifice de la jeunesse aux fantasmes de la vieillesse, mais sans même les “faits d’armes”. Le bide complet.
- Un silence assourdissant des 220 000 médecins français qui, hors quelques exceptions respectables, ont avalé les couleuvres des hommes de l’Etat. Par incompétence ? Par intérêt ? Par désespérance ?
La société COVID, un immense désert où l’humanité a le derrière en l’air et la tête dans le sable.
Attention aux coups de soleil sur les fesses et aux vertiges quand tous relèveront la tête.
Bonnes fêtes quand même. H. Dumas