A quoi il faut ajouter :
- les missions de service public assurés par les organismes de service publics recrutant des agents qui n’ont pas le statut de la fonction publique (les caisses nationales du régime général de la Sécrutié sociale, les organismes consulaires, les groupements d’intérêt public, les associations syndicales autorisées, les établissements publics à caractère industriel ou commercial, les autorités constitutionnelles)
- les entreprises financées par les collectivités publiques (La Poste, la SNCF, la RATP, EDF, GDF, Aéroports de Paris, etc), qui représentent 5,7 % de l’emploi total.
Au total, c’est donc 25,7% de l’emploi français qui est sous perfusion étatique, soit plus d’un quart. Et cela sans compter les faux-nez de l’administration.
Marie Mantel