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Laurent Conte

Laurent Conte

Je m'intéresse à tout ce qui a trait à l'immobilier et l'économie. J'ai une prédilection pour les prix immobiliers, la tendance dans le neuf et l'ancien, les indicateurs de marché, les avantages fiscaux, que ce soit pour la France, mais en Europe et dans le reste du monde. J'espère vous faire partager ma passion à travers des news originales qu'on ne lit pas ailleurs dans les circuits traditionnels des grosses machines à informer.

Mon blog est : http://www.immobilier-finance-gestion.com/

USA : l'immobilier bondit de +12.1% sur un an !

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Aux Usa, le prix des logements est en hausse de +12,1% en avril sur un an glissant, selon l'indice S & P Case-Shiller. Il s'agit de la plus forte hausse annuelle depuis mars 2006.

Par ailleurs, l’indice Case Shiller des 20 plus grandes villes US (TOP 20) a progressé de 2.5% entre mars et avril 2013.

Sur un mois, toutes les villes du TOP20 affichent une progression sauf Detroit.

C’est aussi le 4ème mois consécutif de progression pour le TOP20.

Néanmoins et depuis son sommet atteint en 2006, le TOP20 affiche toujours une baisse cumulée de 26 à 27%.

En revanche, la reprise de l’indice Case Shiller est impressionnante puisque celui-ci a progressé de 13 à 14% depuis mars 2012.

Après l’explosion de sa bulle jusqu’à son point bas atteint en 2007, les prix immobiliers US sont bel et bien repartis durablement à la hausse.

A mon sens, c’est une des grandes différences entre l’économie US et la notre.

Aux USA, c’est une « bonne et rapide purge » avec pertes et fracas, on remet les compteurs à zéro puis on redémarre avec des conséquences sur les ménages les moins aisés (crédits hypothécaires, vente à perte,…) et aussi sur les banques et investisseurs (faillite de  Lehman Brothers . D'autres se font racheter afin de sauver leur activité : Bear StearnsMerrill LynchWashington Mutual et Wachovia.)

En France, l’état amorti artificiellement la baisse (avantages fiscaux Scellier…) puis amoindrie considérablement la reprise (hausse de la fiscalité sur les plus values immobilières…) avec ses conséquences sur les primo accédants (incapables d’acheter) et les dindons comme vous et moi. Par contre aucune faillite de banque en France.

Source : Dow Jones Indices S & P, 25 juin 2013
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