Près de la moitié de ces logements se retrouve donc réoccupée rapidement et durablement, et un tiers est dans une situation d’occupation intermittente, du fait des changements fréquents d’occupants, inhérents aux petites surfaces du marché locatif privé. Les autres logements, qui restent durablement inoccupés, sont souvent anciens et de moindre qualité, la moitié de ceux-ci disparaît dans les dix années qui suivent l’entrée en vacance.
Les logements de grandes tailles, construits dans de grandes unités urbaines, et de bon confort, ont de grandes chances d’être réoccupés rapidement. Aussi, les travaux d’amélioration augmentent considérablement les chances de réoccupation d’un logement
Lire la suite et source : Observations et statistiques Commissariat général au développement durable N° 170 de juillet 2013

