La construction de bâtiments en 3 D connait un essor fulgurant avec des expérimentations de nouvelles pratiques en tous genres avec plus ou moins de succès.
Lorsqu’il s’agit de petites tailles et de petits volumes, la 3D, grâce à des bras robotisés, devient une alternative à la construction conventionnelle.
Mais lorsque les volumes deviennent plus importants, on doit faire appel à d’autres méthodes.
De ce constat, une équipe dévouée a repoussé les limites de l'architecture 3-D imprimée et a décidé de s’attaquer aux problèmes des grandes structures.
De la révolution en 3D
Dans le cadre de leur premier projet, appelé fossilisé, ils ont inventé une technique qui utilise des bras robotisés qui impriment à grande échelle.
La méthode emprunte la structure des plaques tectoniques de la Terre, appelée « Amalgamma ». Le groupe a utilisé un bras de robot commandé par ordinateur pour imprimer des dessins en couches - ce qui permet aux structures d'être beaucoup plus grandes.
Une nouvelle esthétique
L'équipe a voulu créer une toute nouvelle esthétique qui étend directement le produit sur la zone souhaitée.
Contrairement à la plupart des imprimantes 3-D, qui ne finissent pas par produire des petits blocs, la technique de « Amalgamma » fait de chaque couche de béton une structure différente.
Le but
Le but ultime est de défier l’architecture conventionnelle et de penser au-delà de la brique, en revenant à la question fondamentale qui rend l'impression 3-D si passionnante: si vous pouviez imprimer en 3-D toute forme ou objet imaginable, que feriez-vous?
