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Henri Dumas

Henri Dumas

Libéral convaincu,  je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com

 
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Macron en chute libre... Bof...

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Juste un petit rappel : http://www.temoignagefiscal.com/de-gaulle-macron-la-guerre-civile/

Bon, ceci dit passons à autre chose.

Off ou on, mort ou vivant, voila pour moi le vrai sujet. (Peut-être pas pour vous)

Je crois, dur comme fer, que chaque petit computeur qui arrive sur terre que l’on appelle un homme n’a, comme tous les ordinateurs, que deux postions : on ou off, allumé ou éteint, mort ou vivant.

Dès sa naissance l’homme n’a donc qu’un unique questionnement : comment rester en vie ? Tout le reste n’est que littérature.

Ceci posé, immédiatement il prend conscience que seul cela sera mission impossible, puis très peu de temps après il va ressentir la nécessité d’un  environnement matériel convenable. Le kit de survie en quelque sorte.

La politique

L’intégration au groupe ou la formation du groupe, seules voies de survie, passent par la politique. C’est elle qui a la charge de faire en sorte que tous puissent se supporter et vivre ensemble. Cela d’une façon assez lâche en temps de facilité, de façon plus prenante en période de difficultés.

Cette nécessité grégaire est si incluse dans les chromosomes de l’homme qu’une foultitude d’escrocs se prétend particulièrement apte à s’occuper de cette fonction, même quand elle est inutile en l’absence de toute difficulté à affronter.

Il est alors aisé à ces escrocs de prendre en défaut le fonctionnement binaire de l’homme en lui faisant croire que ce fonctionnement ne serait pas suffisant pour appréhender les problèmes artificiels qu’ils agitent pour justifier leur intervention.

On notera qu’eux même ne disposent que du même système binaire, que donc les complications apparentes qu’ils mettent en avant, accompagnées de leur prétention à comprendre le trouble intellectuel qu’ils sèment, sont la preuve de leur escroquerie.

Tout ça pour vous dire que la politique c’est vachement simple, cela ne peut pas dépasser notre calculateur binaire individuel.

Mon voisin me plait ou ne me plait pas. Si celui-ci me plait, il n’y a pas de problème. S’il ne me plait pas, je dois quand même faire avec. Il est une composante du groupe sans laquelle il n’y a plus de groupe, donc plus de force collective.

Quand je vous dis que c’est binaire.

Pour établir un accord de groupe deux solutions, la discussion ou la force, c’est tout.

Lorsque le nombre des composants du groupe augmente considérablement la discussion devient impossible, d’où l’idée lumineuse de la démocratie pour éviter le recours à la force et organiser une discussion globale autour de l’idée de majorité.

Franchement ce n’est pas compliqué.

Il faut de sacrées bandes de tricheurs pour que cela devienne ce que nous vivons aujourd’hui.

L’économie

Elle n’a aucun rapport avec le vivre ensemble, avec la politique.

Il s’agit simplement de la meilleure façon de créer et de partager les richesses matérielles, dont la nécessité n’est contestée par personne.

Ici aussi tout est terriblement binaire, selon son activité du moment l’homme gagne des biens matériels ou en perd.

Ici l’effort est personnel même s’il arrive qu’il soit partagé. Il n’est alors que la somme des efforts de chacun. Nous ne sommes plus dans l’affect, le rapport aux hommes, mais dans le réel, le rapport à la matière.

Rien n’est plus binaire que l’économie dont le résultat est fatalement positif ou négatif.

De façon naturelle chacun comprend ses facultés d’accès aux biens matériels et s’en accommoderait, s’il n’était que certains, là aussi, se permettent de tricher en utilisant la force.

La force perturbe gravement le partage naturel des biens, introduit l’injustice humaine inacceptable à la place de la différence naturelle qui est elle parfaitement acceptable. J’imagine les tenants de la complication se gondolant à la lecture de cette affirmation simpliste. J’ai une pensée émue pour leur cerveau binaire, comme le mien, qu’ils mettent en surrégime pour rien. Oui, qu’ils le veuillent ou non, le rapport aux biens matériels est simple. La propriété privée sanctionne naturellement le résultat.

Je crois sincèrement deux choses :

-1°- Politique et économie n’ont aucun rapport, tout ce qui tend à les mélanger est suicidaire.

-2- Les deux sont des composantes naturelles de la survie des hommes largement appréhendables par leur outil binaire. Ceux qui prétendent à une complication extrême, voir surnaturelle, pour prendre le pouvoir sont irresponsables. Ils font croire aux autres qu’ils sont plus intelligents qu’eux, il s’agit d’une fable idiote.

Une seule chose est sûre

L’usage de la force n’a sa place ni dans la politique ni dans l’économie. Elle est la marque de la connerie la plus épaisse, suivez mon regard.

L’idée de complication ne vise qu’à introduire finalement la force, à la banaliser en lui accordant une place dévastatrice que nous devons refuser de toutes nos forces, de toute notre énergie. Car, comme il n’est que on ou off, oui ou non, ce doit être non à la force.

Evidemment, je ne peux terminer ce billet qu’en stigmatisant Bercy, principal foyer de l’usage de la force dans notre société. Qui a de plus la folle prétention d’utiliser la force pour réguler et mélanger politique et économie. Le pire du pire.

Cordialement. H. Dumas
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