Henri Dumas
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Libéral convaincu, je tire des expériences de ma vie une philosophie et des propositions.
Le tout sans prétention de vérité.
Mon blog : www.temoignagefiscal.com
Hier Vichy, aujourd'hui Bercy
Audience de l'article : 2045 lecturesCette femme, ordinaire de sensibilité, de spontanéité, d’ouverture d’esprit et d’amour raconte sa vie et ses doutes pendant que la folie Nazie, s’emparant de son environnement, vise sa mort et celle des siens en mettant en avant des motifs qui emportent à l’époque une adhésion majoritaire.
Contre toute raison cette folie la tuera. Jusqu’à la fin, elle ne comprend pas, elle ne s’enfuit pas. Peut-on comprendre quand la société devient folle ? Elle n’arrive pas à imaginer la solution finale et à conceptualiser la haine globale, portées par le nazisme, qui se sont emparées des autres.
Aujourd’hui encore on cherche à nous faire croire que le nazisme n’était qu’une minorité, si infime que, finalement, il ne s’agissait que d’un seul fou. Alors que la vérité est que tous, majoritairement, voulaient la mort des juifs, étaient en réalité nazis.
Tout particulièrement les magistrats qui appliquèrent sans état d’âme les lois de Vichy.
Aujourd’hui la haine mortelle est portée par Bercy.
Alors que notre constitution affirme la réalité de la propriété, qu’il n’est pas douteux qu’elle est une composante indissociable de notre personnalité, de notre « être », la majorité accepte l’idée formulée par Bercy qu’elle ne nous appartient pas.
Bercy affirme que la propriété doit être redistribuée par lui, que ceux qui sont attachés à la leur sont des fraudeurs.
Bercy pille et vole au nom de la majorité séduite par l’égalitarisme, nouvelle folie collective. Ce faisant, Bercy piétine ceux qui sont morts pour justement défendre la propriété, pour refuser les pillages de la France par ses ennemis extérieurs, depuis des millénaires. A quoi cela a-t-il servi si c’est pour que, finalement, le pillage s’épanouisse à l’intérieur du pays ?
Égaux à eux-mêmes les magistrats appliquent sans état d’âme les lois de Bercy.
Mais cette folie fiscale totalitaire a un coût matériel et moral, sournois car peu visible, mais terriblement destructeur. Il taraude la société qui souffre sans pouvoir déterminer son mal, puisqu’elle en est porteuse et que c’est elle-même qui se transmet le virus.
Si la maladie est difficile à diagnostiquer, il reste la souffrance qui est là, bien visible, violente : celle qu’ont exprimée les Gilets Jaunes.
Quand tomberont Bercy et les Bercyniens ?
Difficile à dire, mais ils tomberont. Ils auront leur Nuremberg.
Macron pourrait être leur Brutus, fils de l’élite de Bercy, en a-t-il compris le délire ? Et, si c’est le cas, peut-il le dire et les français l’entendre ?
A vrai dire je ne le sais pas et je m’en fous un peu. Pour moi ce sera trop tard, Bercy est en train de m’exécuter.
Peut-être mes écrits réunis, plus tard, après guérison du pays, pourront-ils aider à comprendre ce qui s’est passé. Tant mieux si c’est le cas et si les responsables de Bercy sont un jour jugés et la citadelle rasée.
C’est tout ce que je souhaite à mon pays à la veille d’être achevé, cramé, par ses magistrats volontairement et prétentieusement obtus.
Ces magistrats qui ne connaissent que la loi, n’importe quelle loi, ces magistrats que la vérité indiffère.
Bien à vous. H. Dumas
1 Commentaire
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mercredi, 19 décembre 2018 05:04
Posté par
alex6
A mais il y a une difference majeure entre Bercy et Vichy, c'est que Bercy ne vous interdit pas de quitter le territoire (du moins pas encore...)
Que pourrait-on penser de juifs restant volontairement dans un pays ou regne la terreur d'un Vichy dirigee vers eux seuls? a mon avis, qu'ils font un choix irrationel.