Vous n'êtes pas membre (devenir membre) ou pas connecté (se connecter)
Actions

Actions

Acheter... VENDRE

VENDRE A LA BAISSE... Racheter

Actions américaines... Actions européennes et françaises

Investir ou trading ?

Sentiment de marchés auprès d'investisseurs pro - le cash au plus haut depuis 2012 comme les obligations - et la part des actions est au plus bas !

Audience de l'article : 2091 lectures
Nombre de commentaires : 0 réactions
Les craintes d'une éventuelle récession chinoise et les inquiétudes vis-à-vis de la détérioration de l’état des économies émergentes ont incité les gestionnaires de fonds à détenir plus des liquidités à un niveau plus élevé que celui de la dernière crise financière. 75% des participants à un récent sondage se disent préoccupés par la Chine et les marchés émergents et ont pris des positions en conséquence pour encaisser des chocs de volatilité.

Les gestionnaires de fonds ont réduit leur exposition aux actions et aux matières premières. Le Japon n'a plus la cote non plus.

C’est en tout cas ce que confirme Bank of America dans cette étude détaillée ci dessous.


survey

L'allocation en actions est désormais à son plus bas niveau depuis septembre 2012, selon l'enquête. Un investisseur sur trois voit cette classe d’actifs menacée par la hausse probable des taux d'intérêt par la Réserve fédérale américaine.

L’exposition aux obligations est à son plus haut depuis mai 2013. Quelques 35% des gestionnaires d'actifs dispose d’un matelas de trésorerie énorme, (au plus haut depuis le 12 Juin).

Les investisseurs devront attendre jusqu'à jeudi pour savoir si la FED, dirigée par Janet Yellen, maintiendra des taux d’intérêt faibles ou bien si au contraire la banque centrale américaine va relever ses taux pour la première fois depuis 2006. Psychologiquement, il ressort compte tenu du pessimisme ambiant que si les marchés ne font pas de rally en cas d'absence de hausse des taux d'intérêts, alors, le marché attend l'arrivée soit d'un défaut de paiement d'un pays émergent ou soit une récession économique.




Poster un commentaire